OTAVALO/EQUATEUR

Niché entre deux grands volcans l’ Imbabura et le Cotacachi qui culminent à 5000 m, la petite ville d’OTAVALO est réputée pour son marché coloré et son artisanat d’art.
Cette région, c’est d' abord un environnement lac ou lagune ( la différence entre les deux, c’est simple, la lagune c’est un ancien cratère rempli d’eau) et montagne ( ancien volcan au sommet enneigé)

On y trouve du cuir à Cotacachi, des sculptures en bois de San Antonio essentiellement sur le thème religieux, et les fameux tissages d ‘ OTOVALO faits par les indigènes des montagnes
Nous avons profité du marché, où l’on trouve toutes sortes de choses que les indigènes viennent vendre après une semaine de travail

Nous n’avons pas résisté aux ponchos en alpagas, sorte de petits lamas.
Enfin Gabi a trouvé son poncho, elle ne le quitte plus depuis !!


Des masques de cérémonie.
Finalement, nous avons convenu en cas de désaccord familial, ils devront les porter pour une journée  et méditer avec ?


Nous avons également trouvé de magnifiques couvertures en alpagas pour couvrir nos petites épaules, devant le brazero le soir en Normandie, nous aurons de quoi refaire le monde à notre retour, avis aux amateurs !!!

Des joueurs de musique traditionnelle





La charge est légèrement disproportionné !!








Les sculpteurs sur bois de SAN ANTONIO,
Beau travail et on visite leur atelier en fond de boutique, mais vu la taille des sculptures il n’est pas évident d’en ramener une chez soi. Nous ramènerons finalement deux sculptures contemporaines de taureaux colorés réalisés par la nouvelle génération


Les fameux  Panamas qui sont exclusivement fait en Equateur:
Ici ce sont les vrais, le nom vient juste du pays , le Panama, lieu où ils embarquaient.Le Panama se fabrique avec des feuilles de palmes provenant d’un arbre poussant sur la côte. Ces feuilles sont bouillis et elles sont travaillées la nuit pour ne pas altérer la couleur, les femmes et les enfants sont réputés pour leurs mains expertes sur ce sujet. Il faut trois mois de labeur pour un vrai panama.
 Le test: on le retourne, on le remplit d’eau et on vérifie s’il fuit !!!!!



Cherchez l’intrus, mais oui c’est Gallurin, avec ses nouveaux copains !!!
Et pour ceux qui nous demandaient dans le précédent commentaire, pourquoi Gallurin n’était pas sur la tête du cochon !!!

Nous répondons:Gallurin est certes excentrique, mais il ne coiffe pas n’importe qui ,ni n’importe quoi, c’est une question de style !!

D’accord Gabrielle avait mis la barre très haute en tentant  de présenter Gallurin au président équatorien et il faut certainement leur apprendre à être plus raisonnable dans leur ambition mais de là à finir sur la tête du cochon l’écart est trop important.

Nouvelle leçon de vie pour nos enfants:  
- il faut être ambitieux dans ses rêves avec un soupçon de réalisme et ne jamais céder à la facilité




Oscar a essayé le panama Borsalino: c’est celui qu’il préfère car il fait “Parrain”








Des têtes réduites: pour mémoire en forêt équatorienne,  certaines tribus  avaient une tradition. elles coupaient la tête de leurs ennemis, leur retiraient les os et les laissaient sécher en ornement à l’entrée du village…

Ah j’oubliais, ils leur cousaient les yeux et la bouche  pour éviter que l’esprit de leur ennemi s’échappe pour venir se venger.
C’était très pragmatique

Oh  un étalage ( en hauteur) de barbe à papa
Finalement c’est plus appétissant dans nos fêtes foraines, ils devraient essayer les pommes d’amour, les unes au dessus des autres !!!

Arthur veut toujours tout essayer dés qu’il voit quelque chose de nouveau, alors après avoir mastiqué des feuilles de coca
 ( c’est pour l’altitude, que ses grands parents se rassurent !!) nous avons gouté ceci.
Ce n’est pas une glace, mais une crème aromatisée









un cocktail à base  de malt  crème chantilly et sirop de mure; pas inoubliable, mais nouveau!!!







La suite, en route pour les GALAPAGOS!